Dix heures du matin, elle est en avance et attend digne, plus que désespérée, ses trois enfants à côté d'elle dont l'un est dans un fauteuil roulant opéré il y a quatre jours de jambes cassées.
Cette jeune femme n'a plus que ses enfants pour l'aider à continuer sa route de femme seule, séparée depuis longtemps.
Elle attend qu'arrive la voiture mortuaire dans laquelle son père se trouve enfermé pour l'éternité dans le cercueil qui sera mis en terre plus tard après la messe.
Son père adoré décédé samedi matin, au volant de sa voiture dans laquelle étaient ses enfants aussi, sortis blessés dont un gravement.
La voiture sans raison apparente s'est encastrée sous un engin de travail des routes.
Pauvre jeune femme à qui j'ai téléphoné dimanche pour lui dire de ne pas hésiter à venir à la maison, bien que nous ne nous fréquentions pas, je l'ai connue toute enfant, puis adolescente, quand les gens résident en lôtissement ils se voient de temps à autre. Mais il n'y a pas de mots ni de gestes pour apaiser la douleur de la perte d'un être proche et cher.
Elle a vu arriver ce cortège funèbre et l'a suivi comme une somnanbule, certainement repensait-elle à quelques années plus tôt quand son père l'accompagnait derrière celui de sa mère renversée sur la route, mourant seule avant que les secours n'arrivent.
Souvent les malheurs s'accumulent, peut-on dire que c'est une fatalité, non, c'est terrible cette série.
Elle a attendu avec ses enfants et les personnes venues une dernière fois rendre hommage à son cher papa.
Maintenant, elle doit être désemparée, ne réalisera que plus tard cette disparition encore plus douloureusement.
Mes souhaits de paix intérieure, d' amitié vont vers elle et ses enfants.
Cette jeune femme n'a plus que ses enfants pour l'aider à continuer sa route de femme seule, séparée depuis longtemps.
Elle attend qu'arrive la voiture mortuaire dans laquelle son père se trouve enfermé pour l'éternité dans le cercueil qui sera mis en terre plus tard après la messe.
Son père adoré décédé samedi matin, au volant de sa voiture dans laquelle étaient ses enfants aussi, sortis blessés dont un gravement.
La voiture sans raison apparente s'est encastrée sous un engin de travail des routes.
Pauvre jeune femme à qui j'ai téléphoné dimanche pour lui dire de ne pas hésiter à venir à la maison, bien que nous ne nous fréquentions pas, je l'ai connue toute enfant, puis adolescente, quand les gens résident en lôtissement ils se voient de temps à autre. Mais il n'y a pas de mots ni de gestes pour apaiser la douleur de la perte d'un être proche et cher.
Elle a vu arriver ce cortège funèbre et l'a suivi comme une somnanbule, certainement repensait-elle à quelques années plus tôt quand son père l'accompagnait derrière celui de sa mère renversée sur la route, mourant seule avant que les secours n'arrivent.
Souvent les malheurs s'accumulent, peut-on dire que c'est une fatalité, non, c'est terrible cette série.
Elle a attendu avec ses enfants et les personnes venues une dernière fois rendre hommage à son cher papa.
Maintenant, elle doit être désemparée, ne réalisera que plus tard cette disparition encore plus douloureusement.
Mes souhaits de paix intérieure, d' amitié vont vers elle et ses enfants.
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