D'abord j'espère que vous allez bien, pas de maux d'estomacs, de migraines, de " gueules " de bois et oui ça arrive.
L'année nouvelle est commencée et je suis nase, il faut avouer que je me suis couchée à trois heures du matin et levée à huit heures, je ne comprends rien depuis un moment le sommeil me fuit.
Ah ! Vous pensez que j'ai fait la nouba, danser, et tout le bastringue, détrompez-vous, c'est ce jeu de Monopoly des villes et satellites et cie qui a duré disons une bonne partie de la nuit.
Au début de la soirée vers dix neuf heures la table mise joliment décorée il faut le dire, nous avons déjà commencé à trinquer à l'arrivée des tourtereaux, les bras, oui je devrais écrire des ailes chargées, de paquets, et leurs feux d'artifice.
Nous étions quatre autour de cette grande table de famille nombreuse, mais les absents se sont manifestés et ont laissé leurs empreintes en pensées dans notre coeur.
Pendant le repas l'euphorie règnait, comme depuis quelques jours j'ai un blues qui traine, les jeunes ont tout fait pour mettre de l'ambiance.
Mika avec ses dons d'imitateur, nous a raconté des scènes de vie vécues dans son métier, mieux que Dany Boon, puis à minuit dans la rue jets de feux d'artifice dans le froid, avec les : Oh ! Ah ! des gens aux alentours.
C'était rudement beau, entre temps le téléphone sonnait pour les voeux, et je courrais à l'intérieur, puis nous avons fait cette partie de Monopoly où je mélangeais les billets d'euros, et j'ai perdu comme d'habitude.
Nous n'avons pas vu défiler le temps qui finissait une année en amour familial, et une autre commençant avec des pépites de tendresse partagée dans les yeux, et des pensées pour les êtres aimés éloignés.