Fantôme cet après midi !
Ce n'est qu'une anecdote ajoutée sur une page d'un chapitre, un peu hilarante plutôt bizarre !
Fou-rires sur le chemin en allant chercher les petits enfants à l'école, impossible de stopper cet échange foldingue entre ma fille et moi qui lui racontait le petit épisode vécu en début d'après midi.
Celle-ci étant partie en courses, mon mari se reposant un peu pendant que j'écrivais sur l'ordi des enfants dans une pièce en haut de la maison.
Sauf qu'il fut réveillé dans son semi-sommeil par un bruit fracassant parait-il qui le fit monter à moitié endormi pour me demander si j'avais entendu ce bruit assourdissant.
Lui faisant remarquer que j'écrivais calmement comme il voyait, je n'ai pas trop fait attention, à part le ronronnement dans le pré avoisinant d'une machine peut-être, et le tintement des cloches que les vaches arborent fièrement.
Mais appuya-t-il je t'assure que c'était un grand bruit claquant comme si on courait sous les poutres qui m'a fait sursauter, je lui rétorque qu'un léger tremblement de terre peut-être a fait craquer les escaliers de bois épais, ou un fantôme...hou...hou...
Donc en marchant sur la route ma fille me raconte que son père a été réveillé pensant qu'une bête quelconque a pris refuge au grenier, ou autre chose, et là le fou-rire me prend et je lui dis ce que c'était !
Car sitôt mon mari reparti de la pièce où j'écrivais, un flash de lucidité chez Ederza est apparu, et oui j'avais fermé les lourdes fenêtres un peu... trop brusquement, la chaleur dehors trop étouffante m'oppressant.
J'ai besoin de fraîcheur pour écrire, penser, réfléchir, même rêver.
Laissons croire à papa ai-je dit à ma fille que peut-être un fantôme rode dans la maison, et le fou-rire nous a tenu compagnie jusque l'école en croisant les gens du village ceux-ci avaient le sourire nous saluant.
Fou-rires sur le chemin en allant chercher les petits enfants à l'école, impossible de stopper cet échange foldingue entre ma fille et moi qui lui racontait le petit épisode vécu en début d'après midi.
Celle-ci étant partie en courses, mon mari se reposant un peu pendant que j'écrivais sur l'ordi des enfants dans une pièce en haut de la maison.
Sauf qu'il fut réveillé dans son semi-sommeil par un bruit fracassant parait-il qui le fit monter à moitié endormi pour me demander si j'avais entendu ce bruit assourdissant.
Lui faisant remarquer que j'écrivais calmement comme il voyait, je n'ai pas trop fait attention, à part le ronronnement dans le pré avoisinant d'une machine peut-être, et le tintement des cloches que les vaches arborent fièrement.
Mais appuya-t-il je t'assure que c'était un grand bruit claquant comme si on courait sous les poutres qui m'a fait sursauter, je lui rétorque qu'un léger tremblement de terre peut-être a fait craquer les escaliers de bois épais, ou un fantôme...hou...hou...
Donc en marchant sur la route ma fille me raconte que son père a été réveillé pensant qu'une bête quelconque a pris refuge au grenier, ou autre chose, et là le fou-rire me prend et je lui dis ce que c'était !
Car sitôt mon mari reparti de la pièce où j'écrivais, un flash de lucidité chez Ederza est apparu, et oui j'avais fermé les lourdes fenêtres un peu... trop brusquement, la chaleur dehors trop étouffante m'oppressant.
J'ai besoin de fraîcheur pour écrire, penser, réfléchir, même rêver.
Laissons croire à papa ai-je dit à ma fille que peut-être un fantôme rode dans la maison, et le fou-rire nous a tenu compagnie jusque l'école en croisant les gens du village ceux-ci avaient le sourire nous saluant.
Photo mai 2008